C'est l'histoire d'un gars là, qu' a pas été fin sur ce coup là....

  Oui, oui je sais, j'ai manqué de jugeotte sur ce coup là. Mais attendez de connaitre l'histoire et les épisodes qui s'en sont suivis. Mais toute histoire commence par un début. Vous passerez par diverses émotions. Le questionnement parce que je vais laisser des indices par ci et par là et peut-être même connaitrez vous la peur........................ ?

 

   Il était une fois Monique, ma collègue et acolyte de ballade dans Montréal. Nous décidons de nous rendre au Parc Oka, un parc national sur la rive du nord du St Laurent. Pour y aller on décide de se donnez rendez-vous le samedi matin, 8h avec nos vélos pour prendre le train  de 9h direction Deux Montagnes (super original le nom de la montagne en passant). De là, nous prenons le vélo direction le parc. L'affaire se corse quand je me réveille samedi matin à 8h58 et qu'aucune affaire n'est prete, sandwich, eau, matériel en cas de crevaison et même le bonhomme dans sa tête il est pas prêt.

 

  Je décide donc de prendre le train de 12h00 et de tenter de retrouver Monique au Parc Oka par chance. Donc entre 9h et 12h, je prépare les affaires en discutant avec les parents par Skype. L'heure de partir arrive, 11h. J'ai décidé d'aller à la gare la plus proche pour prendre le train, c'est à seulement 10 min à vélo. Josette la bicyclette qui pour l'occasion s'est vue changer  ses pneus. Wahou. J'arrive à la gare de Parc bien assez tôt, 50min avant l'arrivée du train. Et là pas de guichets. J'apprends qu'il faut prendre ses tickets sur le net ou à la Gare centrale, en plein centre ville. Du coup, je prends le métro, direction Gare centrale, le vélo dans le métro, wagon spécial vélo, il est 11h15. J'arrive à la Gare centrale 11h45, je sors du métro, non pas en roulant parce que c'est interdit, mais en courant telle une transiton en triathlon. J'avale les escaliers Josette sur l'épaule. Je passe le tourniquet et suit la direction de la gare... toujours centrale. L'affaire c'est que je dois passer une porte qui tourne, Josette est trop grande, trop longue pour passer dedans. Le seul moyen de vous montrer comment un anglophone m'a aidé à passer le vélo serait de demander la vidéo. Je passe cette porte, le train part dans 10 min. Je reprends Josette sur mon épaule, cours comme un malade, les gens dans l'escalier se mettent sur les côtés. J'arrive dans la ville souterraine, je cours toujours, même la polie n'ose me stopper, j'arrive à la gare à 11h55, je demande un ticket pour Deux Montagnes et le guichetier m'annonce: Pas de trains aujourd'hui... Agence Métropolitain de Transport....je t'aime, merci pour l'aventure. Mais c'est pas sur cette histoire que j'ai pas été malin.

 

OK!!!!!!!! Maintenant on souffle et vous aussi chers lecteurs parce que ça c'était speed. Donc je me pose et je réfléchis, ça m'arrive. Arsène, t'as préparé tes sandwichs, t'as prévu de passer la journée sur le vélo. Ok!!!! Josette est toute équipée pour l'aventure, la piste cyclabe est à côté, tu la prends, je  parle de la piste. Je m'en vais donc prendre la piste cyclabe et direction canal Lachine.

 

 Voici le parcours de ma journée.

 

Et voici, Josette. Équipée pour la grande chevauchée.

Si vous observez bien, vous saurez pourquoi j'ai manqué de jugeotte.

 

Donc moi et Josette, nous sommes partis vers d'autres:

 

 En allant rouler ma carapace le long du:

Et du canal, mais y avait pas de panneaux.

 

Voici en quelques photos l'histoire du canal Lachine. Excusez ma flemme, mai sça fait beaucoup à écrire:

 

   Après l'histoire, place, à la randonné vélo. J'imagine qu'à ce point de l'histoire vous n'avez encore pas deviné ce qui m'est arrivé. Patience, patience vous le saurez en défilant les photos une à une.

 

Les pistes disposéees de part et d'autres du canal permettent aux urbains comme moi, de sortir de la ville sans trop s'en éloigner. c'est la sortie du week end d'un grand nombre de cylcitses, marcheurs et patineurs. J'ai même croisé quelques triathlètes que j'ai reconnnu grace à leurs vélos de chrono. J'en ai même doublé un groupe qui vexé de se faire doubler par quelqu'un avec un vélo de 15kg ont de suite monter la plaque et descendu les pignons pour me scotcher sur place. C'est ce qu'ils ont cru les bonhommes, mais moi j'ai tenu 2 minutes avec eux. Je crois que je les ai encore plus fachés à ce moment là. Mais bon au delà des 2 minutes, j'en pouvais plus. Pas facile de rouler vite avec un seul plateau à l'avant. Désolé ce n'est toujours pas la fin de mon aventure. Encore bien du chemin à faire. Six heures de vélo en ttout sous un ciel sans nuages.

 

À y retourner de nuit.

 

Dans sa chansn dédiée à Montréal. Grand corps malade dit que Montréal est la petite soeur de New-York. Central Park est connu pour l'un de ses clichés où l'on peut voir des personnes jouer aux échecs. À Montréal, c'est le long du canal Lachine, près du marché Atwater que les joueurs d'échecs se retrouvent. Une grande tente est consacrée à cet effet. Ainsi protéger du soleil, ils peuvent jouer des heures durant et aller se rafraichir en allant manger les fruits du marché Atwater.

 

Voici pour la pause concentration sous ce soleil de plomb. Reprenons le périple.

 

L'Oratoire St Joseph, un peu comme le Taj' Mahal de Montréal.

 

Un vestige du passé industriel du canal.

 

Prise sur le vélo. Excusez la qualité mais il fait beau ici.

 

Le canal Lachine c'est comme le canal St Martin de Paris mais à Montréal.

 

Arrivé au bout du canal, il est temps de se restaurer. C'est ici qu'on vit bien les amis.

 

Et on repart pour 14kkm le long du St Laurent cette fois-ci. Direction Dorval, petite ville résidentielle.

Je vous laisse chercher à quel endroit en France ou en Europe ce lieu peut vous faire penser.

Sur le coup, je me suis retrouvé limite perdu, tellement cela ne ressemblait plus à Montréal. En même temps J'en suis sorti depuis un bout. Mais on est à seulement 30 min de Montréal en voiture et ici c'est la banlieue. même des définitions peuvent changer. En France, on n'aurait pas l'idée d'appeler ce lieu, une banlieue.

 

Reprenons la piste et découvronms que certains sont inspirés par le fleuve et y dépose des cailloux.

 

C'est de l'art parait-il??

 

 

On n'est pas bien, là, au soleil, y à le phare, les mouettes. Une église au fond.

On dirait la Bretagne mais avec du soleil et quel soleil, lui il n'a pas oublié de se lever ce matin.

 

Ok donc là, on est du côté de Dorval c'est ici que je fais mon demi tour pour rentrer èa la maison.

 

 

Et sur la route du retour, de belles surprises m'attendent, voyez donc:

 

On peut surfer èa Montréal, au niveau des rapides de Lachine" Pas la peine d'aller èa Hawaii

Hawaii est èa Montréal" 

 

 Ma plus belle photo de cette journée de vélo.

 

Toutes ces belles photos ne vous indiquent toujours pas ce qui m'est arrivé dans le fond. À moins que certains d'entre vous aient pu deviner à travers les indices que j'ai dispatché par ci et par là. La réponse la voici, et en image:

 

Le coup de soleil de la vie.

 

Mais voici les épisodes qui s'en sont suivis.

 

En 1, je travaillais torse nu, avec une serviette mouillée pour rafraichir mon dos.

En 2, on a tous connu un matin où l'on avait les traces de l'oreiller sur le visage. Imaginez que j'ai eu ces traces dans mon dos en me lvant le matin, si ça n'avait pas été rouge de même. J'aurais rien dit, mais ce matin là j'ai pleuré et j'ai sacré contre moi même d'avoir été si stupide.

En 3, je remercie mes voisins, pour m'avoir passer la crème dans le dos.

 

Voilà, vous savez pourquoi j'ai été stupide.

À bientot